Cher Yves,
Les mots me manquent (et Dieu sait si c’est impossible !) pour décrire ma révérence devant tant de talent, de beauté et de grâce.
Si j’étais orgueilleuse (et Dieu sait que je ne le suis point, car c’est un péché mortel) je me pavanerai de fierté d’avoir eu la chance de connaître et côtoyer l’homme qui a su réaliser toutes ces merveilles.
Je vous imagine (et Dieu sait que mon imagination n’a de limite que dans l’entonnoir de l’ennui) en train de passer les aiguilles dans ces dentelles, frou-frou et tissus chuchotant sous vos doigts rapides et habiles ; les heures et les heures d’ampoules, de peau blessée, piquée à sang, peignant de sang d’encre ces voilages lourds d’histoires inavouées.
Et si j’arrêtais là mon délire de Frédéric Mitterrand pour vous dire tout simplement Bravo !!!! et à très bientôt, je l’espère !
Jana,
Vôtre bien dévouée depuis toujours